L’échec de la reproduction est l’une des premières raisons de réforme des vaches laitières et de la réduction du nombre moyen de lactations. D’un autre côté, améliorer la fertilité des vaches laitières est un moyen éprouvé d’augmenter les rendements laitiers et de réduire le taux de réforme.
Une analyse économique de la reproduction des vaches laitières montre que la rentabilité optimale est atteinte entre 4 et 6 lactations. Améliorer la fertilité et réduire l’intervalle entre chaque vêlage augmentent la rentabilité, puisque la période entre les pics de lactation est réduite. Le nombre de veaux nés par an augmente et les taux de remplacement sont moindres.
Le confort de la vache, son état de santé et son bilan énergétique sont essentiels pour une bonne fertilité. La plupart des problèmes sont liés à la période péri-partum, lorsque les vaches sont confrontées à un stress élevé, ainsi qu’au risque de maladies infectieuses et métaboliques. Les problèmes durant cette période de transition, comme un bilan énergétique négatif, une cétose clinique ou subclinique, une inflammation systémique et une perte de l’état de santé corporel, sont directement associés aux performances reproductives. Une bonne fertilité est atteinte avec des ovocytes de bonne qualité, en bonne santé, capables d’ovuler au bon moment et de produire des signaux suffisamment forts pour provoquer l’œstrus. Des follicules dominants de mauvaise qualité, cependant, sont incapables d’envoyer des signaux suffisamment forts pour provoquer l’œstrus et la fertilisation. Même s’il est fertilisé en utilisant des protocoles de synchronisation de l’œstrus, la qualité de l’embryon sera mauvaise et entraînera invariablement une mortalité embryonnaire.
• Une bonne nutrition qui fournit suffisamment d’énergie pour soutenir la production laitière et prévenir la perte de l’état de santé corporel
• Confort pendant la période de vêlage avec un mouvement minimal entre les groupes et suffisamment d’espace d’alimentation pour que les vaches puissent manger sans faire la queue ni attendre
• Prévention de la cétose subclinique et de l’inflammation post-vêlage, ayant des effets négatifs directs sur la qualité des ovocytes.
• Stabiliser l’état du rumen pour réduire le stress de la vache pendant la transition alimentaire
• Prévenir le risque d’acidose ruminale et améliorer l’énergie alimentaire par une meilleure digestion des fibres, fournissant plus d’énergie, nécessaire pour une bonne fertilité
• Réduire l’impact de l’inflammation post-vêlage et du bilan énergétique négatif en stabilisant la santé intestinale et leur intégrité
• Améliorer les performances reproductives et la production laitière à long terme
Actisaf® améliore les paramètres reproductifs sur le long terme lorsqu’il est administré à tout le troupeau pendant toute la lactation.